Nous avons reçu le texte suivante avec la demande de le distribuer, ce que nous sommes naturellement heureux de faire en espagnol, en anglais, en allemand et en français.
- Dem Volke Dienen
Nous avons élabores (prepare) la suivante Déclaration International Commun pour les Partis et Organisations Marxiste-Leniniste-Maoistes pour le Premier Mai de l'annéeen cours, avec la intentionqu'ils y adhèrent. En raison des difficultés actuelles de l'échange en le MCI, qui es évident, que nous avons pris l'initiative de rendre la déclaration publique par ce moyen et nous attendons une communication rapide des camarades des différents pays au courriel suivant : Diese E-Mail-Adresse ist vor Spambots geschützt! Zur Anzeige muss JavaScript eingeschaltet sein!
Redacción de la Revue el Maoísta, avril 2020
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PREMIER MAI 2020:
Prolétaires de tous les pays, unissez-vous !
Jeter l’illusion et sauter a la lutte !
Nous savions déjà, nous le éprouvons dans notre corps et âme, que ce monde ancien n’est pas rien de plus qu'un enfer pour le prolétariat internationale et les peuples du monde. Nous savouns déjà, comme démontré au cours des derniers mois, même le songeur plus imbécile qui a fermé les yeuxha vue toutes les illusionnes sur le système impérialiste mondiale, tomber en morceaux, disparaître comme de la fumée.
Le mal nommé " Corona-Crise " qui s'attaque principalement aux plus pauvres et aux plus faibles, est le résultat de décennies de négligence systématique et progressive des systèmes de santé publique des masses, de la préventionetpréparationpour les cas de catastrophe - même si chaque nouvelle pandémie en annonce une plus grave - par les (pour les parts des) états anciennes impérialistes et les états du capitalisme bureaucratique en application de leurs plans de " privatisation " pour se centrer sur le gagnes et le profit. Cela est dû à : des hôpitaux qui n'ont pas la capacité de soigner les patients pendant les épidémies et les urgences ; c’est pourquoi ils ya manque de personnel de santé et d'instruments, d'équipements et de fournitures pour ces cas ; c’est pourquoi ils ya manque d'intérêt et au retard dans la recherche et le développement de nouveaux vaccins et médicaments pour combattre les épidémies qui affectent la survie des grandes masses du monde ; c’est pourquoi ils ya les systèmes d'alerte précoce n'ont pas fonctionné et lorsque le COVID-19 attaquait déjà la Chine en novembre 2019, ni dans ce pays ni aux États-Unis, en Espagne, en Italie et dans d'autres, des mesures immédiates ont été prises pour " ne pas préjudice à l'économie ". C’est la chronique résumé de la " Corona-Crise ", une crise qui s’annonce dans la crise général du impérialisme. " Corona-Crise " qui est, fondamentalement, le catalyseur et la premier phase d'une nouvelle crise économique mondiale, crise de surproduction capitaliste, qui a également été annoncé par les économistes du capital financier depuis longtemps, accentuée drastiquement pour le usage qui fait les gouvernements réactionnaires dans le monde entier avec la pandémie de le COVID-19 – principalement la superpuissance impérialiste yankee, la superpuissance atomique Russie et les grandes puissances impérialistes – s'aggrave encore plus pour le concurrence cynique parmi lesquelles.
C’est une crise qui conduit à la destruction des forces productives d'une manière jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale, au milieu d'une avalanche de mesures anti-ouvrières et anti-populaires prises par les gouvernements réactionnaires en les "légitimant" comme nécessaires à la lutte contre la pandémie, résultat de la gestion politique des impérialistes, des réactionnaires et des révisionnistes, qui a permis à l'épidémie de COVID-19 de se propager pour devenir la pandémie de COVID-19 et générer quelque chose qui n'est rien de moins qu'un crime de génocide contre les peuples du monde.Le mal nommé “Corona-Crise” qui ha plongé dans une crise politique encore plus profonde à les états impérialistes et les états propriétaire terrien-bureaucratiquelequelaggrave touts les contradictions fondamentales à niveau international et les spécifiquesselon le type de pays de quoi s'agit-il.
Les responsables de la crise et les plages sont les impérialistes et leurs laquais
Quand la épidémie commences en Wuhan-China, la préoccupation de les impérialistes était principalement que les "chaînes d'approvisionnement" ne soient pas interrompues, c’est-à-dire qui causer problèmes dans le process du production en raison de la intégration vertical du leurs monopoles , n'ont pas prisez mesures de prévention la expansion de la epidemie. Quant est clair qui la epidemie devait devenir une pandémie, comme ce fut le cas au plus tard en janvier de cette année, ils craignaient que les entreprises aéronautiques et touristiques ne voient leurs bénéfices baisser et n'empêchent donc pas le virus de se propager dans le monde entier. Lorsque la pandémie a commencé à frapper l'Europe de l’ouest, les écoles ont été fermées, mais les restaurants et les bordels sont restés ouverts - sous prétexte d'éviter la ruine des petits propriétaires, alors qu'ils ne faisaient que défendre les grands monopoles de la "franchise" et du commerce de gros. Ce n'est que lorsque les fabriques ont commencé à fermer, seulement à ce moment-là, que les États impérialistes ont commencé à libérer des moyens. C'est là que les États garantissent l'existence des monopoles à tout prix. C'est là qu'ils disent " Adieu " à la politique d'"austérité". C'est là que se développe sans retenue le capitalisme monopoliste etatique. La politique d'"austérité", imposée dans le monde par l'impérialisme yankee et au sein de l'"Union européenne" ("UE") par l'impérialisme allemand, est directement responsable de milliers et de milliers de morts dans ces pays.
Ces quelques faits mentionnés montrent que ce qui a conditionné la gestion de la pandémie par les états impérialistes est essentiellement leur intérêt en profit, à agir comme le grand capitaliste commun de la bourgeoisie impérialiste de chaque nation opprimée, guidés par leurs intérêts politiques et militaires dans la lutte inter-impérialiste et, en particulier, à maintenir la surexploitation des peuples opprimés. Maintenant, nous sommes appelés à mourir comme les agneaux du dieu Capital ; pour les sauver, nous devons nous immoler.
Les impérialistes ne s'égarent pas, ils continuent dans leur propre logique, profitant du fait que l'attention de l'opinion publique mondiale est distraite par le drame de la "Corona-Crise" : L'agression débridée de l'impérialisme américain contre le Venezuela dans les Caraïbes, les manœuvres navales de la Russie en mer du Nord et dans la Manche, l'avancée de l'"UE" (menée par l'Allemagne) pour briser les sanctions américaines contre l'Iran, les menaces de Trump contre l'OPEP + la Russie de réduire sa production de pétrole pour ne citer que quelques "incidents", montrent que rien ne changerait leur sanglante nature bestiale. Comme l'a dit le président Mao, l'impérialisme ne se transformera jamais en bouddhas inoffensifs.
La lutte au sein de l'"UE", face à la demande de l'Italie et de l'Espagne de mutualiser la dette avec les "EURO-Bons", dans laquelle l'Allemagne joue le rôle d'hégémon et force les impérialistes espagnols et italiens à s'agenouiller d'une manière qu'ils n'ont pu faire auparavant qu'avec des pays comme la Grèce, De même avec les impérialistes français qu'ils forcent à accepter le paquet "d'aide" pour "Kurzarbeit" (le raccourcissement de la journée de travail pour promouvoir l'économie), les obligeant ainsi à manger dans la main du présidente de la Commission européenne von der Leyen, démontrant une fois de plus que l'unité européenne sous l'impérialisme est impossible. Mais l'exemple le plus flagrant du manque absolu de "solidarité" entre les impérialistes est la façon dont la seule superpuissance hégémonique, le impérialisme yankee, vole littéralement le matériel médical des autres impérialistes, en utilisant des méthodes mafieuses comme l'ont dénoncé les représentants des impérialistes français et italiens, entre autres, méthodes qu'ils ont toujours appliquées contre les nations opprimées.
Dans ce scénario de crise économique et politique galopante, il est clair que ceux qui paieront pour toutes ces barbaries, comme toujours dans ce système pourri, seront ceux du bas de la plus bas, les ouvriers, principalement les "sans-papiers", et les masses populaires ; déjà, des dizaines de millions ont été jetés au chômage dans les pays impérialistes. Mais le fardeau le plus lourd retombera sur le dos des masses ouvrières et populaires, principalement des paysans, dans les pays opprimés. Rien qu'en Inde, 100 millions de ouvriers ont perdu leur revenu en un jour, étant contraints de retourner à la campagne pour survivre. Nous avons donc un exemple de plus de la manière dont l'oppression impérialiste ne détruit pas la base semi-féodale mais la fait plutôt évoluer. Au Chili, lorsque la "quarantaine" a commencé à être appliquée, les grands grossistes, les capitalistes bureaucratiques, ont cyniquement déclaré que le prix du pain allait augmenter, en un jour, de 20% ; un tel crime ! Ils empêchent d'abord les masses de gagner ce dont elles ont besoin pour survivre et, en plus, ils augmentent le prix des aliments les plus élémentaires de façon considérable. En Équateur, les morts sont laissés dans les rues de Guayaquil pendant des jours, comme au temps de la peste, ce qui démontre la putréfaction absolue de l'ancien état propriétaire terrien-bureaucratique. Au Brésil, dès que le fasciste Bolsonaro et la droite du haut commandement militaire se battent pour la direction du régime contre-révolutionnaire en place, les masses sont impuissantes face au fléau du chômage, du sous-emploi, de la réduction des droits minimums, de la faim, de la misère, de l'assassinat des pauvres par les gendarmes de l'ancien état et du fléau du COVID-19. En Afrique du Sud encore, reprenant les méthodes de l'Apartheid, les forces armées patrouillent dans les quartiers, de sorte que les masses y meurent sans avoir accès à des installations sanitaires adéquates, même en temps "normal", sans parler des soins médicaux. Ainsi, il faut garder à l'esprit que le nombre réel de décès causés par cette pandémie est caché, car la grande majorité des morts, qui se trouvent dans les nations opprimées, ne sont pas enregistrés parce qu'ils n'ont même pas été testés.
Les parasite impérialiste, les responsables de la crise, cyniquementoffrent “aide” à travers de leduo diabolique, le Banquemondialeet le Fonds monétaire international, les deux dominée par le impérialisme yankee. Les peuples du monde savent très bien que ces institutions ne signifient rien d'autre que l'assujettissement, l'oppression, l'exploitation, la faim et la misère. Les esclavagistes agressent l'esclave, le battent sauvagement jusqu'à ce qu'il tombe à terre et lui offrent ensuite leur main pour se relever à condition qu'ils mettent des chaînes plus solides - c'est ainsi qu'ils traitent ces misérables.
L’ oppression génère résistance et le développement de cette crise de le système impérialiste, signe de son plus grand naufrage, qui menace de se poursuivre pendant des années, entraînera une immense croissance de protestepopulaireavec toutlemonde, la révolution va exprimer de plus en plus son caractère tendance historique et politique principal. Touts les crimes des les impérialistes et leurs laquais sera plus que punie pour les masses révolutionnairedanstoutlemonde, les luttes de libération nationale vont encore s'intensifier et de grandes explosions de la lutte populaire vont secouer le monde entier. Le prolétariat international et les peuples du monde dirigés par de véritables partis communistes marxistes-léninistes-maoïstes feront de grands bonds en avant pour mettre fin au plus sinistre des plaques, l'impérialisme. Le colosse aux pieds d'argile sera abattu.
Contre l’impérialisme et les états anciennes : Combattons et résistons !
Nous, communistes du monde, devons bien comprendre la situation politique actuelle et assumer notre responsabilité avec initiative, énergie et audace, en nous efforçant inexorablement de hisser le drapeau rouge avec le marteau et la faucille a haut sur les lignes de front de la lutte des masses, en combattant et en résistant, pour les diriger et les canaliser au service de la révolution prolétarienne mondiale, dans la lutte pour les révolutions démocratiques et socialistes - comme il convient dans chaque pays, respectivement. L'approfondissement de la crise du système impérialiste crée d'excellentes conditions pour que les communistes développent d’avantage la politique de masse ; qu'ils approfondissent, resserrent et élargissent ses racines et ses liens avec les masses les plus larges et les plus profondes, comme le font déjà nos camarades dans plusieurs pays, et cela nous permet d'avancer dans la construction des trois instruments de la révolution, Parti, Armée et Front, de façon concentrique. En soi, et il ne peut en être autrement, l'essentiel est de se concentrer sur la construction du Parti communiste lui-même, qu'il soit en cours de reconstitution, de constitution ou déjà reconstitué, mais même ainsi, la construction du Front, le Front unique de la révolution, qu'il soit démocratique ou socialiste, dirigé par le prolétariat, mérite une attention particulière. Le Front doit prendre forme en fonction du moment de développement de la révolution dans chaque pays, comme un front de classe qui correspond à la tâche centrale et suprême de la révolution, la lutte armée révolutionnaire, c'est-à-dire la guerre populaire, pour conquérir et défendre le pouvoir pour le prolétariat et le peuple, à partir du fait que la révolution dans chaque pays est différente selon les conditions particulières et qu'il ne s'agit pas du même Front dans un pays avec le Front au niveau mondial. Cela devrait nous faire réfléchir : unir, différencier et diriger ! Une bonne gestion de la politique du Front permettra aux communistes de tous les pays de faire des pas gigantesque pour faire avancer leurs positions et de unifie sous leur direction, selon leurs conditions particulières et le moment présent du processus révolutionnaire dans les pays respectifs, à les larges masses qui, dans leur propre chair, vivent ce plaque qu'est l'impérialisme. Notre problème est de nous différencier, pas de nous embrouiller ; ce n'est qu'en nous différenciant clairement que nous pourrons faire face à cette polarisation de classe qui se développe déjà et qui va s'accentuer. Si nous ne nous différencions pas, alors nous allons nous embrouiller et développer ce vulgaire "frentisme", ces mélanges qui servent des fins contraires à celles qu'ils devraient servir ; Aussi, parce que le Parti doit persister et faire tout son possible pour être le seule centre unique et reconnu pour que la révolution se déroule réellement selon ce que le marxisme-léninisme-maoïsme, principalement le maoïsme, a fixé.
Dans les moments de grande intensification de la lutte de classe, il est nécessaire de la développer de façon prolongée et de la mener à bien pendant des périodes. Gardez à l'esprit que vous ne pouvez pas tout développer au même niveau, il y a un développement inégal, c'est une loi, le développement est inégal et le sera toujours. Il est obligatoire que les communistes donnent des slogans clairs et concis pour guider la lutte des masses, combinés à des actions fortes qui touchent les esprits, dans ce cas-ci pour briser la "Trêve politique", l'"unité nationale", que les gouvernements essaient d'imposer, sous prétexte de "combattre le Corona-Virus", pour écraser la lutte révolutionnaire et populaire. Les communistes doivent démasquer les mesures corporativiste et dynamiter les illusions des anciens états, sinon ils tomberont dans le piège de servir la plus grande réaction des États, en concentrant l'agitation et la propagande sur le fait que la seule façon de sortir du cercle d'exploitation de fer est la révolution sous la direction du prolétariat dirigé par son parti communiste. La lutte revendicative est nécessaire et doit être développée en fonction de la lutte pour le pouvoir du prolétariat et du peuple, il faut voir que la lutte politique est la principale et la lutte économique du prolétariat et des travailleurs en général est la base ; le problème du salaire, de la journée de travail, des conditions de travail et des droits - comme le droit de syndicat, la grève, la réunion, l'association, l'expression, l'opinion et le mouvement etc, sont des problèmes d'une importance vitale que nous ne pouvions pas éviter, car si nous les évitons, nous ne pouvons pas développer le travail de masse pour la révolution ; nous devons l'élever, donne un impulse pour faire les grèves et les arrêts, en gérant bien leur interrelation en fonction des circonstances concrètes de la lutte.
Face à la pandémie, les communistes ne peuvent pas abandonner les masses face au chantage et aux menaces " impôts d'"isolement social " des autorités réactionnaires et aux miettes qu'elles leur offrent en bons samaritains ("mesures sociales"). Ils doivent prendre l'initiative de s'organiser pour la défense de la santé du peuple en créant des organes de front, guidés par une ligne de classe, en tant qu'organes politiques de masse pour lutter pour les besoins fondamentaux de protection contre la pollution et pour garantir par tous les moyens l'approvisionnement en nourriture et en personnel de santé, en médicaments, en instruments et équipements pour les soins d'urgence, en assainissement des sources de propagation de l'infection ; pour annuler les paiements pour l'eau, l'électricité et les services de transport de masse. Rejetant que ce soient les agences de l'ancien état et les ONG impérialistes qui sont chargées d'apporter "l'aide", exigeant que les organisations populaires prennent en charge son administration et sa distribution afin d'écraser l'utilisation contre-révolutionnaire et manipulatrice de ce que l'ancien état est obligé de faire par son propre ordre interne et les lois de la guerre.
Gardez à l'esprit que face à la crise la plus profonde, les anciens états se déchargent du poids de celle-ci sur le dos des masses, l'exploitation et l'oppression sont rivées à des coupes plus importantes dans les droits, les libertés et les avantages acquis avec le sang des masses. Pour l'appliquer, la réaction doit donner ses "mesures sociales" ou ses "réformes" et celles-ci ne peuvent porter leurs fruits que si nous nous laissons arracher aux bannières de la lutte ; nous, les communistes, nous avançons et nous n'allons pas nous laisser arracher à eux, encore moins les déposer, nous devons les battre pour les faire échouer, pour enlever la parole à l'action contre-révolutionnaire. Les masses savent où se trouvent leurs intérêts, font confiance aux masses, font confiance au peuple, se rappellent toujours : "le peuple et seulement le peuple sont la force motrice de l'histoire".
La situation actuelle dans le monde, du point de vue de peuples, est condensée : L'EXPLOSIVITÉ DES MASSES S'INTENSIFIE PARTOUT DANS LE MONDE, ET VA DEVENIR PLUS PUISSANTE. Il est de notre devoir d'être clair sur cette situation explosive et de l'utiliser dans l'intérêt du prolétariat et du peuple, en le service de la initiation et développement de la guerre populaire. Nous devons savoir comment nous battre, nous devons appliquer les principes de la guerre, parce que nous devons appliquer ce que le président Mao dit à toutes sortes de luttes en général : lutter avec raison, avantage et limitation.
Alors que les impérialistes, les réactionnaires et les révisionnistes du monde entier tentent sans vergogne d'utiliser l'aggravation de la crise impérialiste pour faire avancer leurs propres intérêts particuliers, en attaquant le prolétariat international et les peuples du monde, en sortant leurs griffes de fer pour voler, tuer et s'emparer de la plus grande partie du butin, qui sont les nations opprimées, le prolétariat et les peuples doivent faire le contraire. Les communistes doivent proposer une réponse unique, une réponse unique du prolétariat international. Nous devons suivre l'internationalisme prolétarien, en théorie et en pratique, et lutte pour l'unité du Mouvement communiste international (MCI), sur la base du marxisme-léninisme-maoïsme, principalement le maoïsme, la lutte contre le révisionnisme et au service de la révolution prolétarienne mondiale en menant la guerre populaire, en développant ceux déjà initiés, comme au Pérou, en Inde, aux Philippines et en Turquie, et en préparant et surtout en initiant le plus tôt possible de nouveaux dans tous les pays.
Aujourd'hui, les communistes avancent dans l'unité du MCI en avançant de manière décisive vers la tenue de la Conférence internationale maoïste unifiée et en donnant naissance à la nouvelle organisation internationale du prolétariat.
C'est l'heure de l'unité, plus de splitisme, de sabotage, de trafic et de sales combats. Ceux qui sont pour le maoïsme et la guerre populaire et qui ont commis de graves erreurs de principe doivent faire leur autocritique, en rompant non seulement avec ces méthodes mais surtout avec leur substance, les convergences avec les vues d'Avakian et de Prachanda, en comprenant bien qu'aucun de ces deux rats n'a apporté de contribution au marxisme mais sont simplement révisionnistes et l'ont toujours été. Au sein de la MCI, un nombre croissant de partis et d'organisations appellent à la reconstitution de la glorieuse Internationale communiste guidée par le maoïsme, certains sont encore hésitants et quelques-uns ont d'autres points de vue, mais cela n'enlève rien au fait que ce long chemin a déjà été parcouru et qu'il n'y a pas de retour en arrière, au fil du temps et surtout avec la poursuite de la guerre populaire, l'unité des communistes du monde se forge sur la base de principes.
Il est temps d'agir. Nous devons intensifier notre activités, faire avancer la rébellion des masses et travailler à transformer la lutte spontanée en lutte consciente sous la direction du prolétariat. Ce n'est pas le moment de pleurer sur nos erreurs et nos limites, mais au milieu de la lutte, nous devons nous montrer à la hauteur des besoins du moment. C'est pourquoi nous devons nous préparer, maintenant il n'y a pas d'autre choix que de se lancer dans la lutte, celui qui hésite à ce moment-là perd la confiance des masses. Ce 1er mai sera une grande manifestation de la vigueur du communisme, notre drapeaux rouges brilliant avec le marteau et la faucille sont le symbole de l'espoir, du lumineuse avenir du communisme, qui agitent la guerre contre le monde de l'oppression et de l'exploitation, contre l'ordre ancien.
Et pour couronner le tout, ce 1er mai, nous célébrons également un anniversaire très important : c'est le 130e anniversaire de la manifestation du 1er mai. Cette première manifestation a été mise en implémente et guidée par le grand camarade Frederick Engels, dont nous célébrons le 200e anniversaire cette année. Allez-y, camarades !
VIVE LE 1ER MAI - JOURNÉE INTERNATIONAL DU PROLÉTARIAT !
UNISSEZ-VOUS SOUS LE MAOÏSME !
ÉTANT PARTIS, AYANT DES MASSES, TOUS LES MIRACLES SERONT FAITS !
PROLÉTAIRES ET PEUPLE DE MONDE; REJOIGNEZ-NOUS POUR BALAYER LA PLAGE DU IMPÉRIALISME DE LA FACE DE LA TERRE AVEC GUERRE POPULAIRE !
SIGNATURES